Quel cahier des charges pour une campagne SEA ?

Que vous soyez patron de PME ou propriétaire de site e-commerce, vous gagnez à lancer des campagnes SEA. Car une telle démarche est essentielle pour améliorer son chiffre d’affaire. Mais avant que votre projet de référencement sponsorisé ne prenne forme, pensez à établir un cahier des charges. C’est un document important à partir duquel vous expliquerez et résumerez clairement vos besoins. Le prestataire choisi s’y réfèrera pour vous proposer un devis qualifié. En élaborant convenablement votre cahier des charges, vous augmentez les chances de réussite de votre campagne SEA. Découvrez les informations incontournables qu’il doit contenir.

 

Un cahier des charges détaillant votre projet

 

En parcourant votre cahier des charges, on doit avoir des détails de votre projet de référencement payant. Il faut qu’on soit situé sur plusieurs aspects de celui-ci. Le plus important est évidemment le choix des mots-clés. Votre cahier des charges ne serait pas bien élaboré s’il ne permet pas de connaitre les requêtes que vous avez choisies et qui sont en lien direct avec vos produits ou services. Si vous confiez votre campagne SEA à une structure qui s’y connait, comme l’agence Yupik, vous bénéficierez d’une aide précieuse dans le choix de vos mots-clés. Grâce à ses experts, certains termes peuvent être exclus ou ajoutés en fonction des requêtes qui sont réellement effectuées par les internautes.

 

Un document facilitant la présentation de vos besoins

 

Le cahier des charges de votre campagne SEA doit vous permettre de présenter le mieux possible vos besoins. A partir du document, il faut que votre politique de référencement soit dévoilé. Le prestataire se basera donc sur celle-ci pour bien piloter votre projet. Il fera en sorte que vous profitiez d’un trafic qualifié et à moindre coût en tenant compte de vos besoins.

En général, lorsque les annonceurs lancent une campagne SEA, ils veulent optimiser leur visibilité et leur performance par l’augmentation de la génération de ventes en ligne et de leads. Ils ont aussi à cœur que les internautes les contactent par mail ou téléphone ou via leur site vitrine, ou en s’inscrivant à leur newsletter. Et leur souhait est que tout cela se fasse en n’engendrant pas d’importants coûts, avec la certitude de bénéficier d’un retour sur investissement satisfaisant. Vous avez certainement une telle vision et rien ne devrait vous empêcher d’être clair dessus dans votre cahier des charges.

Si vous avez une préférence pour l’exploitation d’un système particulier, comme le coût par clic, cela doit être mentionné dans le cahier des charges. Le prestataire vous parlera de tout ce qui est en rapport avec cette solution afin que vous sachiez clairement quelles en sont ses retombées. Si vos besoins sont bien indiqués dans votre cahier des charges, ils seront en adéquation avec vos résultats futurs. Vous en serez donc forcément satisfait. Accordez donc de l’importance à cet important paramètre.

Un cahier des charges réservant une place au volet budget

 

Lors de l’établissement de votre cahier des charges, un chapitre doit être consacré à votre budget. Dans le document, il est impératif qu’une estimation de celui-ci soit faite.

Concernant le coût par clic, sachez qu’il varie d’un univers sémantique à un autre. Notez que votre budget peut être plus important si vous avez l’intention de vous positionner sur des requêtes à forte concurrence. Mais il n’est pas forcément nécessaire de choisir ce type de requête. L’idéal est de faire une étude sémantique profonde afin de définir les bons mots-clés. Ceux-ci peuvent être moins coûteux et parfois plus percutants que les requêtes les plus sollicités par la concurrence. Une bonne idée est de passer par l’outil Google Keywords Planner. Il vous permettra d’évaluer vos potentielles dépenses pour la réussite de votre campagne. Par ailleurs, pour établir un bon budget, vous devez tenir compte de la rémunération du prestataire. Si vous sollicitez les services d’une agence SEA, attendez-vous à payer un montant représentant un certain pourcentage de votre investissement (environ 7% en général).